La colère est une émotion primaire, comme la tristesse, la joie, la peur...
Manifester sa colère est donc un symbole de survie, psychique comme physique.
Les traductions pathologiques de la colère se déclinent sur quatre registres différents :
- la colère étouffée, disparue. Ce sont les gens qui sont incapables de se mettre en colère, qui ne savent jamais se défendre.
-
la colère rétro-réfléchie : au lieu de l'exprimer, on enferme sa colère
et on la retourne contre soi. Cela peut avoir des conséquences
psychosomatiques graves (ulcères...).
- la colère défléchie :
c'est une colère déviée sur autre chose que son vrai but. En colère
contre sa femme, un mari s'en prendra plutôt aux enfants. C'est trouver
un exutoire à sa colère, mais pas le bon.
- la colère
hypertrophiée : une colère trop forte, toujours dans l'excès,
disproportionnée par rapport à sa raison, et qui peut pousser l'individu
à des actes de violence.
Consultez un praticien diên chan pour diminuer les excès de colère et mieux gérer les conflits : parfois une seule séance suffit
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire