Une autre percée québécoise dans la lutte contre le cancer du sein. Après l'annonce, fin mars, de l'identification de 49 nouvelles variations génétiques impliquées dans le risque de développer ce cancer, des chercheurs de l'Université de Montréal affirment aujourd'hui avoir trouvé une cible potentielle pour freiner la progression des métastases. « Nous avons aussi découvert que la protéine DOCK1 contribue à la croissance des tumeurs. » — Mélanie Laurin
mercredi 1 mai 2013
Sciences: Cancer du sein
La progression des métastases mieux comprise.
Une autre percée québécoise dans la lutte contre le cancer du sein. Après l'annonce, fin mars, de l'identification de 49 nouvelles variations génétiques impliquées dans le risque de développer ce cancer, des chercheurs de l'Université de Montréal affirment aujourd'hui avoir trouvé une cible potentielle pour freiner la progression des métastases. « Nous avons aussi découvert que la protéine DOCK1 contribue à la croissance des tumeurs. » — Mélanie Laurin
Une autre percée québécoise dans la lutte contre le cancer du sein. Après l'annonce, fin mars, de l'identification de 49 nouvelles variations génétiques impliquées dans le risque de développer ce cancer, des chercheurs de l'Université de Montréal affirment aujourd'hui avoir trouvé une cible potentielle pour freiner la progression des métastases. « Nous avons aussi découvert que la protéine DOCK1 contribue à la croissance des tumeurs. » — Mélanie Laurin
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire